If BS were currency, Palin could bail out Wall Street herself
Une des forces que je reconnais à la candidate à la vice-présidence des USA, Sarah Palin c'est son côté drôle malgré elle. Passés l'effet de surprise de sa nomination et les inquiétudes qu'elle pourrait récupérer à son profit les intentions de vote du sénateur de New York Hillary Clinton, on en sait un peu plus sur le gouverneur de l'Alaska, état aux confins du Nord Ouest américain peuplé de près de 680 000 âmes. Notre amie Sarah, partisante du port des armes et de la lutte contre l'avortement (même en cas de viol ou d'inceste) a quelques casseroles derrière elle (Google vous en dira plus que moi à ce sujet). Je ne les détaillerai pas ici car ce n'est pas ce qui m'amuse le plus chez elle. 3 semaines après la convention républicaine où force est de reconnaître que sa prestation avait été plus qu'honorable, notre chère Sarah Palin inquiète par le nombre d'inepties qu'elle a pu débiter au long de ses (rares) entretiens avec la presse. Comme nos ...