Les mots toujours tres lourds de sens du poete Senegalais Birago Diop a la memoire d'Emmanuel, de Frederic, de Michel, de Jean-Philippe et tous ceux qui nous precedent dans les vents de Dieu. Les morts ne sont pas morts, ils restent aupres de nous si ce n'est en nous ou encore ils marchent parmi les vents du monde selon cette phrase que j'affectionne particulierement du poete Allemand Rainer Maria Rilke. Pour Leopold Sedar-Senghor, dans la preface des contes d'Amadou Koumba , Birago Diop nous rappelle ce Pacte lourd mais essentiel qui nous lie a la vie : " Birago Diop ne fait que traduire, à travers la loi de l'interaction des forces vitales, la dialectique de la vie qui est celle de l'univers. A l'anarchie et à la mort s'oppose l'ordre de la vie. " Ecouter ce poeme. Ecoute plus souvent Les Choses que les Etres La Voix du Feu s’entend, Entends la Voix de l’Eau. Ecoute dans le Vent Le Buisson en sanglots : C’est le Souffle des anc...